Une femme est devenue veuve, ou a été répudiée (et elle réclame le douaire) ; elle dit qu’elle a été épousée vierge, et le mari (ou son héritier) dit qu’elle était veuve ; si elle a des témoins qui l’ont vue sortir de chez son père, pour aller chez son mari dans le hinouma (sorte de voile, ou beau tapis ; c’était le signe d’un premier mariage) et les cheveux sur les épaules (autre signe analogue), elle a droit à 200 zouz. Rabbi Yo’hanan ben Béroka dit que la distribution de grains rôtis (Vayikra 23,14) aux convives est aussi un signe suffisant d’un premier mariage.