Le mari est tenu de boire à ce verre flétri, la femme fût-elle bancale, ou aveugle, ou atteinte de la lèpre ; mais s’il trouve qu’après le mariage, elle s’est rendue coupable d’une relation illicite, ou si, sous d’autres rapports, elle n’est pas digne d’entrer dans la communauté d’Israël, il ne pourra plus la garder, comme il est dit (Dévarim 22,19) : elle sera pour lui une femme, si elle est digne de lui appartenir comme telle.