Si la femme a été faite prisonnière, le mari est obligé de la racheter et de la reprendre pour femme, et il ne peut pas même dire : « Voici le divorce et douaire, qu’elle se rachète elle-même ». Si elle est blessée, il est obligé de fournir les frais de son traitement de guérison ; mais il lui est loisible de dire : « Voici l’acte de divorce et le douaire, qu’elle se guérisse elle-même » (il n’est pas obligé de donner davantage).