Un homme a écrit un contrat de douaire à sa femme et l’a répudiée, de sorte que la femme a en main l’acte de divorce et celui du douaire ; puis il s’est remarié avec la même femme, en lui renouvelant le douaire après le deuxième mariage, mais il l’a de nouveau répudiée ; la femme présente alors deux lettres de divorce et deux contrats de douaire. En ce cas, elle peut se faire payer à la fois les deux. Si une femme présente deux contrats et une seule lettre de divorce, ou si elle présente un contrat et deux divorces, ou un contrat, une lettre de divorce et l’attestation de décès du mari, elle ne peut se faire payer qu’un seul douaire ; car celui qui se remarie avec sa femme répudiée ne s’engage pas à lui donner un deuxième douaire à sa femme ; celui-ci conserve sa valeur, parce qu’en restant avec sa femme, il a tacitement confirmé cet acte plus tard. Si un païen (fiancé) se convertit au judaïsme avec sa femme après sa conversion, il a tacitement confirmé ce droit.