Qui n'a jamais souhaité que ses difficultés dans son travail, son Chalom Bayit, sa famille, sa communauté, s'aplanissent ? Qui n'a jamais été déstabilisé ou peiné par des situations en apparence injustes comme le mécréant nageant dans l'abondance et le Tsadik submergé par la souffrance ? Quel est le risque encouru par le fait de nourrir ce genre de sentiments et en quoi est-ce complètement à l'opposé de la Émouna ? Comment parvenir à s'imprégner profondément de l'idée que tout est planifié sur-mesure et parfaitement juste, alors que l'on ressent en définitive le contraire ? Bonne écoute !

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