On raconte que lorsque Darwin observa une plante carnivore prendre au piège des mouches, il fut très étonné. Mais il n’y a rien d’étonnant à cela. A l’extrémité de chaque feuille de cette plante, se trouve une ouverture de couleur rose clair, qui contient un peu de nectar. L’insecte est attiré soit par la couleur soit par le nectar, et se fait prendre au piège à l’intérieur.

L’ouverture est constituée de deux lamelles articulées par un axe. A l’extrémité de ces lamelles se trouve une série de dents très acérées. La plante carnivore patiente jusqu’à ce que l’insecte pénètre à l’intérieur et touche les poils sensoriels qui se trouvent dans la partie intérieure des lamelles. Ces poils donnent l’ordre aux lamelles de se refermer, et celles-ci se referment autour de l’axe très rapidement. A ce moment précis, les dents s’entrecroisent afin d’empêcher toute tentative d’évasion de l’insecte. Les poils sensoriels sont au nombre de trois. Le fait de toucher un seul des poils ne produit aucune réaction de la part de la plante. Une fois que l’insecte a été saisi, la plante se met à produire un liquide qui putréfie l’insecte et le rend comestible pour la plante.

Darwin fut très impressionné par la rapidité des mouvements de la plante pour se refermer. Il la caractérisa comme étant une des plantes les plus fabuleuses au monde. Mais, comme un homme atteint de cécité qui ne voit rien et ne comprend pas ce qui se passe, il n’a pas pu en tirer les conclusions qui s’imposaient. Il se contenta de qualifier son observation "d’adaptation progressive" ou "d’instinct de survie". Les adeptes de Darwin ont qualifié cette merveilleuse mécanique de "plante mutante". Dans la même mesure, il est permis de qualifié la machine à écrire comme un "stylo mutant" (c'est-à-dire un stylo qui a subi des mutations évolutives).

Afin de saisir l’insecte et de le manger, la plante carnivore a besoin que les conditions soient optimales : une couleur attrayante, le nectar, deux lamelles, le mécanisme de l’axe pivotant, et des dents amovibles à l’extrémité (sans celles-ci, l’insecte pourrait se sauver à l’extérieur au moment de la fermeture des lamelles). Cela comprend également les poils sensoriels qui sont en contact direct avec les lamelles pour faire fonctionner le piège. L’insecte doit toucher deux poils au minimum pour pouvoir faire fonctionner le piège, cela évite à la plante de se refermer inutilement lorsque des objets minuscules pénètrent entre les lamelles. La plante possède également des sucs digestifs particuliers qui peuvent avaler les membres de l’insecte. Apres la capture de l’insecte, les lamelles restent fermées pendant plusieurs jours jusqu'à la digestion complète de l’insecte. Puis, le piège s’ouvre de nouveau afin de capturer la prochaine proie.

Chacun des composants au bon fonctionnement du piège constitue en soi un véritable mécanisme complexe. S’il manque ne serait-ce qu’un seul composant, les autres composants n’ont plus d’utilité. Chaque élément doit parfaitement fonctionner depuis le début, sinon cela risque de ralentir la plante, comme un membre du corps sans utilité qui ne fonctionnerait pas. Un organisme végétal dans une telle situation est impropre à la survie selon les règles de l’évolution.

Les adeptes de la théorie que le monde a été créé "selon la théorie de l’évolution" se retrouvent dans une terrible impasse. La mutation de cette plante qui capture des insectes constitue une énigme. Cette plante aurait du être complète depuis sa création afin de parfaitement fonctionner sans avoir à se nourrir d’insectes. Cette manifestation, ainsi que toutes les manifestations dans le monde végétal et animal, annonce clairement son objectif !

Désolé, mais ceux qui voulaient démontrer que ce monde n’est pas dirigé par un Créateur se voilent la face devant des vérités tellement évidentes (Darwin était au départ un étudiant en théologie, mais il rejeta sa religion et s’opposa d’ailleurs à celle-ci). Ils ont établi des théories complètement insensées pour justifier leurs comportements, fuyant vers des idées obscures, à condition de ne pas reconnaître l’existence d’un Créateur qui dirige toutes les merveilles du monde et les trésors inépuisables de la nature.