Bonjour Rav,
Peut-on mettre le livre du Noam Elimélèkh dans son sac à main ?
Merci.
Bonjour,
Vous pouvez placer le livre en question dans votre sac à main.
Si vous pénétrez aux toilettes et qu'il n'est pas possible de laisser le sac à l'extérieur, il faut, tout d'abord, placer le livre dans un sachet et ensuite dans le sac à main.
Guinzé Hakodech, chapitre 4, Halakha 1.
Torah-Box vient d’éditer un excellent ouvrage traitant des Ségoulot. En voici le descriptif :
« Ces dernières années, une tendance consistant à rechercher des Ségoulot efficaces pour solutionner toutes sortes de problèmes s’est nettement affirmée. Si les Rabbanim y répondent de bon cœur, il est néanmoins devenu difficile de différencier les Ségoulot authentiques de celles plus fantaisistes. Dans ce recueil bien pensé et rigoureusement sourcé, ont été regroupées pour vous des dizaines de Ségoulot et de prières ayant fait leurs preuves ainsi que des histoires fascinantes sur leur pouvoir insoupçonné. Le lecteur pourra ainsi trouver réponse aux questions suivantes :
Existe-t-il une Ségoula efficace pour une bonne Parnassa ? Couple en péril : que préconise-t-on ? Que nous propose l’auteur pour réussir dans l’éducation de ses enfants ? Problèmes de santé : comment y remédier ? Cet ouvrage aussi original qu’instructif saura, sans aucun doute, combler les souhaits de tous lecteurs désireux d’avancer dans la voie du bien ! »
Pour en faire l’acquisition, cliquez sur le lien suivant :
https://www.torah-box.com/editions/les-segoulot-du-peuple-d-israel_309.html
Depuis la création du monde, lorsqu’il a fallu annuler un mauvais décret, nos ancêtres ont fait appel aux armes les plus puissantes : la prière et le perfectionnement des Mitsvot. Voir Talmud Moèd Katan 16b [Mochel Bi Tsadik Chéani Gozer Guezéra Oumevatela] et Talmud Ta'anit 23a. Les Ségoulot, bien que mentionnées dans les écrits de nos maîtres, n’ont qu’un effet « améliorant » ou « accélérateur ». Voir Rachi, passage Vayits’akou et Maharal sur Chémot, chapitre 14, verset 10 à propos des Bné Israël sur la rive de la mer, poursuivis par les égyptiens : « Ils suivirent la pratique de leurs pères et s’accrochèrent à l’art des patriarches ».
Nos Sages, les ‘Hakhamim, disent : « Il faut, toujours, prier pour ne pas tomber malade car lorsque l’homme est touché par une maladie, on lui dit : apporte des mérites pour en être guéri ». Voir Talmud, Chabbath 32a.
Comme nous l’avons mentionné précédemment, il y a des Ségoulot authentiques [mentionnées dans le Talmud, les Midrashim et les écrits de nos maîtres] et, assez souvent, il s’agit, en fait, d’une « Mitsva », alors que certaines relèvent plutôt de la fantaisie. Michna Broura, chapitre 1, passage 13 et chapitre 48, passage 1.
Il y a bien longtemps, Hachem se plaignait, déjà, de ceux qui se tournaient vers toutes sortes "Ségoulot" insignifiantes, délaissant la prière et l'accomplissement minutieux des Mitsvot [Hoché'a, chapitre 4, verset 12] : « Mon peuple demande des réponses à son morceau de bois, et il s’adresse à son bâton pour être renseigné : c'est que l'esprit de débauche l'a égaré, et il se dégrade en trahissant son D.ieu. »
Evitons, donc, ces erreurs et suivons le chemin tracé par nos ancêtres et nous bénéficierons du meilleur bien.
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https://www.torah-box.com/question/une-segoula-peut-elle-abolir-un-mauvais-decret_55205.html
Nous sommes à votre disposition, Bé’ézrat Hachem, pour toute question supplémentaire.
Qu'Hachem vous protège et vous bénisse.