Le père ne peut pas être obligé (s’il est pauvre) de nourrir sa fille. Voici l’explication donnée par Rabbi El’azar ben ‘Azaria, devant les Sages à la vigne de Yavné, des mots (du contrat) : « les fils hériteront et filles seront nourries » : comme les fils héritent seulement après la mort du père, de même pour les filles, le droit à la nourriture est seulement exigible après la mort du père (non de son vivant).