Le beau-frère Cohen, sur le point d’épouser par lévirat sa belle-sœur veuve, ne peut pas d’avance lui concéder le droit de manger de l’oblation. Si (sur l’année de délai à une vierge promise en mariage), elle s’est préparée 6 mois comme fiancée au premier défunt, puis 6 autres mois pour le beau-frère, ou si elle a passé toute l’année en vue d’un défunt, sauf un jour consacré à se préparer pour le beau-frère, ou à l’inverse, si elle a consacré un seul jour au défunt et tout le reste de l’année au beau-frère, elle n’a pas encore le droit de manger de l’obligation. Quant à l’opinion précipitée, c’est une première version non confirmée depuis lors. Dans les temps ultérieurs, le tribunal a décidé que la femme aura seulement le droit de manger de l’oblation après avoir passé sous le baldaquin nuptial (après la cérémonie du mariage).