Si la femme reçoit en héritage des esclaves mâles et femelles âgés, on les vendra, pour acheter une terre dont le mari aura l’usufruit. Rabban Chim’on ben Gamliel dit : la femme peut en empêcher la vente, car la possession est en l’honneur (et en souvenir) de la famille. De même, si elle a hérité d’oliviers vieux ou de vignes vieilles, on les vendra come bois pour acheter une terre dont le mari aura l’usufruit. Rabbi Yehouda dit : elle peut s’y opposer, car la possession est en l’honneur de la famille. Si le mari a fait des dépenses pour les biens de sa femme qu’il a répudiée, et qu’il en ait eu les fruits, soit que les dépenses aient été fait est passé, (il ne peut plus rien réclamer). Mais s’il a fait des dépenses sans user des produits, il attestera par serment ce qu’il a dépensé, et il se fera rembourser.