On retient de la Méguilat Esther que tout dans l'histoire de Pourim était inversé (Vénahafokh Hou). Est-ce pour autant qu'il faille avoir à Pourim un comportement sans aucun sens, qui est "à l'envers" ? Ou faut-il plutôt profiter de ce jour d'une extrême sainteté et d’une puissance époustouflante, pour aller puiser dans les forces du subconscient l'amour enfoui qu'on a pour Hachem ? On boit un plus de vin que ce dont on en a l’habitude, jusqu’à ce que la capacité de discernement soit amoindrie et qu’on puisse atteindre un état d’exaltation. C'est là tout l'enjeu de cette ivresse euphorique : savoir la canaliser vers D.ieu. Pourim Saméa'h !

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