En quoi, paradoxalement une faute involontaire est-elle d’une certaine manière plus problématique qu’une faute volontaire ? Comment perçoit-on cette nuance dans les modalités exigées autour des sacrifices expiatoires ? De quelle manière cette approche nous aide à sonder les tréfonds de notre âme et à rectifier le tir si besoin est ? Si l’on transpose ce raisonnement à l’époque de l’histoire de Pourim, en quoi cela nous permet-il de réajuster et de réévaluer notre échelle de valeurs en tant que Juifs ?

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