[Les douze pains de matsa préparés avec un dixième d’éfa de farine de l’offrande]de galettes du Kohen Gadol ne sont pas sortis[de la maison du]Kohen Gadol en deux moitiés. Au contraire,[le Kohen Gadol]apporte[de sa maison]un dixième[d’éfa de farine complet (voir Vayikra6,13)]et le divise[en deux, et il]en sacrifie la moitié le matin et l’autre moitié l’après-midi.[Dans le cas d’un]Kohen Gadol qui apporte[et sacrifie]la moitié le matin et qui meurt, et qu’on a désigné un autre Kohen Gadol à sa place,[le Koehn Gadol remplaçant]n’apportera pas la moitié d’un dixième[d’éfa de farine]de sa maison, ni ne[sacrifiera la]moitié restante du[dixième]d’éfa de son prédécesseur. Au contraire, il apporte[de sa maison]un dixième[d’éfa entier]et le divise[en deux], en sacrifie la moitié, et[l’autre]moitié[n’est pas sacrifiée et]est perdue. En conséquence, on sacrifie deux moitiés[d’un dixième d’éfa, la moitié de ce que chaque Kohen avait apporté], et les deux autres moitiés étaient perdues. S’ils n’avaient pas désigné un autre Kohen Gadol à sa place, de qui[provenait l’offrande de galette apportée et]sacrifiée ? Rabbi Chimon dit :[Elle est apportée et sacrifiée]à partir[des biens]de la communauté. Rabbi Yéhouda dit :[Elle est apportée et sacrifiée]à partir[des biens]des héritiers[du Kohen Gadol]. Et[pendant toute la période jusqu’à la désignation d’un nouveau Kohen Gadol, l’offrande de galette]était sacrifiée[à hauteur d’un dixième d’éfa]complet de fleur de farine.