Toute main qui examine fréquemment, chez les femmes, est louable ; chez les hommes, elle doit être coupée. Quant à une femme sourde, une folle, une aveugle ou une femme dont la cognition est altérée, si elles ont des femmes capables [pour s'occuper d'elles], elles les préparent [c'est-à-dire les aident à se vérifier et à se purifier], et elles peuvent ensuite manger de la terouma [une portion d'une récolte donnée aux Kohanim qui devient désignée comme telle lors de la séparation, et ne peut être consommée que par les Kohanim ou leur famille, et qu'il est interdit de rendre impure]. C'est la coutume des filles d'Israël d'avoir des rapports intimes en utilisant deux linges de vérification [littéralement : témoins], un pour lui, un pour elle. Les pudiques en préparent un troisième, pour se préparer [littéralement : la maison, avant les rapports intimes].