Pour une césarienne, on n’observe pas les jours d'impureté ou les jours de pureté, et on n'est pas tenu d'apporter un sacrifice pour cela. Rabbi Chimon dit : c'est comme une femme qui a accouché [régulièrement]. Toutes les femmes rendent l'impureté [à partir du moment où le sang est] dans la chambre extérieure, comme le dit le verset (Vayikra15,19) : « Le sang sera son flux dans sa chair. » Mais un zav [un homme qui a certains types d'écoulements génitaux atypiques, qui le rendent impur] et un ba'al keri [un homme qui a eu une émission séminale mais qui ne s'est pas encore purifié par immersion dans un mikvé] ne rendent pas l'impureté jusqu'à ce que leur impureté émerge à l'extérieur.