Si quelqu'un a pris [pour son usage] une pierre ou une poutre consacrée, il [n'est] pas
responsable de son mauvais usage [me’ila]. S'il a donné [la pierre ou la poutre] à un autre,
il est responsable de son mauvais usage [me’ila] et l'autre [personne] n'est pas responsable
de son mauvais usage [me’ila]. S'il a construit [la pierre ou la poutre] dans sa maison, il n'est
pas responsable de son mauvais usage [me’ila] jusqu'à ce qu'il réside sous elle [et en tire un
bénéfice égal à] la valeur d'une perouta. Si quelqu'un a pris [pour son usage une] perouta
consacrée, il [n'est] pas responsable de son mauvais usage [me’ila]. S'il a donné [la perouta]
à un autre, il est responsable de son mauvais usage [me’ila] et l'autre [personne] n'est pas
responsable de son mauvais usage [me’ila]. S'il a donné [la perouta] à un préposé aux bains
[levallan], bien qu'il ne se soit pas baigné, il est responsable de [son mauvais usage [me’ila].
La raison en est] qu'au [moment où il reçoit la perouta, le préposé] dit [en fait au propriétaire
de la perouta :] Les bains sont ouverts devant vous, entrez et baignez-vous. [Le bénéfice tiré
de cette disponibilité vaut une perouta].