[Si l’]on fait cuire dans[un même récipient de la viande]sacrificielle et de la viande non sacrée, ou[de la viande]d’offrande de l’ordre le plus sacré et[de la viande]d’offrande de moindre sainteté,[le statut de l’aliment dépend du goût de la substance rigoureuse]. S’il y a[suffisamment]de[viande plus sacrée]pour donner du goût[à la viande moins sacrée ou non sacrée, alors]les[composants indulgents des mélanges doivent]être consommés en accord avec[les restrictions des composants]rigoureux qu’ils contiennent,[dans la mesure où ils peuvent y participer, ainsi que le moment et le lieu où ils peuvent être consommés]. Et[les récipients en cuivre dans lesquels les composants indulgents ont été cuits]ne nécessitent pas de récurage et de rinçage, et[les composants indulgents]ne disqualifient pas[les morceaux de viande]par contact.[Au regard de ces principes, les composants indulgents n’ont pas le statut des composants rigoureux. Dans le cas d'un]petit pain bon qui a touché[un petit pain impropre]ou d'un morceau[de viande sacrificielle qui a touché un]morceau[de viande sacrificielle impropre], ni tous les pains ni tous les morceaux[de viande]ne sont interdits. Aucune[partie n'est]interdite autre que[celle qui se trouve]à l'endroit où[l'objet]a absorbé[le goût des petits pains ou des morceaux impropres].