Le jour de Ticha Béav n'est pas seulement un jour de deuil, mais aussi un jour de reconstruction. En quoi ? Que reconstruisons-nous en ce jour ? Pour la Torah, le deuil et la tristesse sont-ils synonymes ? Pourquoi ? Comment comprendre que, comme le dit la Guémara Ta'anith, celui qui s'endeuille sur Yéroushlayim mérite (au présent) et voit (au présent) la joie de celle-ci ?  Que dit Rav Wolbe à ce sujet ? En quoi Ticha Béav est-il comparable à Yom Kippour ? En quoi la tristesse, la mélancolie et le désespoir sont-ils incompatibles avec la émouna (foi en Hachem) ? En quoi le texte de la Massekhet Dérekh Erets Zouta qui montre l'importance de demander le Chalom de Yéroushalayim est-il étonnant ? Comment le comprendre ? En quoi la Yéroushalayim des temps futurs est-elle différente de l'actuelle ? Que dit la Guémara Baba Batra à ce sujet ?        

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