Concernant le sang d'une femme non juive et le sang de la période de pureté (dam tohar) d'une lépreuse [c'est-à-dire pendant ses jours de pureté post-partum], Beth Chamaï le considère comme pur ; et Beth Hillel dit : c'est comme sa salive ou son urine [c'est-à-dire qu'il ne rend impureté que lorsqu'il est humide]. Concernant le sang d'une femme qui a accouché et qui ne s'est pas immergée, Beth Chamaï dit : c'est comme sa salive ou son urine. Et Beth Hillel dit : il rend impureté lorsqu'il est humide ou sec. Et ils sont d'accord sur le fait que si elle a accouché alors qu'elle était une zava[une femme qui a certains types de pertes génitales atypiques, distinctes de ses règles, qui la rendent impure], alors elle [c'est-à-dire son sang] rend impureté lorsqu'il est humide ou sec.