(Tous les aliments qui sont devenus rituellement impurs par contact avec une source d'impureté ne transmettent l'impureté à d'autres aliments et liquides que si les aliments impurs mesurent le volume d'un œuf. Le volume d’un œuf n’a été dit uniquement au sujet des aliments qui ont reçu leur impureté d’ailleurs. Mais la viande d’un animal névéla, qui est elle-même impure, transmet sont impureté à partir du volume d’une olive) La peau [qui est attachée à la viande, même si elle est impropre à la consommation, s'additionne à la viande pour constituer le volume d’un œuf]. (Si la viande devient impure, si la chair additionnée à la peau ont un volume d’un œuf, elles peuvent transmettre l’impureté). Et [il en est de même de] la sauce [gélifiée attachée à la viande, bien qu'elle ne soit pas consommée] ; et [de même] les épices [ajoutées pour aromatiser la viande, bien qu'elles ne soient pas consommées] ; et les résidus de viande [attachés à la peau après le dépouillage] ; et les os ; et les tendons ; et [la partie inférieure des] cornes, [qui reste attachée à la chair lorsque le reste de la corne est retiré] ; et [la partie supérieure des] sabots, [qui reste attachée à la chair lorsque le reste du sabot est retiré. Tous ces éléments] s'associent [à la viande pour constituer le volume d'un œuf nécessaire] pour transmettre les impuretésde la nourriture. (toumatokhalim) (Car tous ces éléments protègent(chomerim) la viande ou sont consommés avec. Bien que si l'un d'entre avait à lui-seul le volume d’un œuf, il ne transmettrait pas d'impuretés alimentaires, lorsqu'il est attaché à la viande, il complète la mesure). Mais [ils ne s'associent] pas [pour constituer le volume d'une olive nécessaire pour communiquer] l'impureté de névéla.
De même, [il existe un autre élément qui transmet des impuretés aux aliments mais pas aux impuretés de névéla : dans le cas de] quelqu'un qui abat un animal interdit pour un non-juif et [que l'animal] convulse [encore et entre en contact avec une source d'impureté, l'animal devient impur avec l'impureté de la nourriture (toumatokhalim) et] transmet l'impureté de la nourriture [à d'autres aliments], mais [ne transmet] pas l'impureté de névéla jusqu'à ce qu'il meure ou jusqu'à ce qu'on lui coupe la tête.
[La Michna résume : La Torah] incluait [certains éléments] pour conférer des impuretés aux aliments en plus de ceux qu'elle incluait pour conférer des impuretés aux névélot. Rabbi Yéhouda dit : [Concernant] les résidus de viande [attachés à la peau après le dépouillage] qui [ont été] collectés, s'il y en a un morceau [du volume] d’une olive en un seul endroit, [cela transmet l'impureté de névélaa celui que les touche et si par la suite il entre dans le Temple ou mange des aliments consacrés, il est] susceptible [d’être karet]. (En le collectant en un seul endroit, la personne indique qu'elle le considère comme de la viande).
