Pourquoi n'est-il pas suffisant d'être pratiquant ? En quoi est-il indispensable de grandir en yirath Chamayim (crainte du ciel) et en ahavath haTorah (amour de la Torah) au lieu de se contenter de faire des actes ? Pourquoi a-t-on cependant besoin de concret et ne peut-on donc pas se suffire de sentiments? L'importance de faire des mitsvoth impliquerait-elle que celles-ci soient à envisager comme des performances ? Lorsqu'on les considère comme telles, quel est le danger ? Que signifient les termes "mitsvat anachim méloumada" mentionnés dans le Séfer Yécha'ya? Que disent Rabbénou Yona et Rav Aharon Kotler à ce propos ? Comment peut-on définir la vieillesse ? Celle-ci est-elle toujours fonction du "nombre de rides" ? En quoi Rosh Hashana nous aide-t-il à "rester jeune" ?

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