Série de cours sur les halakhot (lois juives) concernant le "Lachon haRa" (la médisance!) à partir du livre du Hafets Haim.

Cours offert par Jérémie B. à la mémoire de Messaouda Bat Zaiza et Rivka bat Koka.

Il existe des cas dans lesquels on peut parler d’un dommage sans devoir le faire devant trois personnes. Lesquels? Pourquoi, selon Rabbénou Yona, peut-on faire -dans ce type de situation- abstraction de cette condition? D’après le ‘Hafets ‘Haïm, lorsqu’on a vu une personne fauter envers son prochain (avéra chébein adam la’havéro), a-t-on le droit d’en parler ? Si oui, à quelles conditions ? En est-il de même lorsque la faute en question est commise envers Hachem (avéra chébein adam laMakom) ? Pourquoi ? Qu’appelle-t-on un moumar ? Y a-t-il des restrictions quant au fait de dire du lachone hara sur une telle personne ? 

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