Je m’appelle Yaacov Israël, j’ai aujourd’hui 23 ans. Il y a presque deux ans, on m’a diagnostiqué la maladie. Ce fut un choc sur le moment. Pourtant en y réfléchissant, ce diagnostic fut déjà à lui seul un miracle. En effet, j’étais totalement asymptomatique, sans aucun signe annonciateur. C’est un enchaînement d’événements extraordinaires, presque irréels, qui m’a conduit jusqu’au bureau du professeur. Si je n’avais pas eu cet accident de voiture qui a nécessité une série d’examens, qui sait combien ça aurait pu se développer avant qu’on ne le traite ? Comme si la Providence m’avait pris par la main pour me faire entendre ce que j’ignorais encore.
Normalement, dans un cas pareil, la vie entière est bouleversée : les activités, les études, les projets… tout est remis en question. Comment cela s’est-il passé pour toi et ton entourage ?
En effet, j’ai pris la décision — avec le soutien de mes parents et du professeur — de poursuivre mes études de droit. Mon entourage a dû, lui aussi, faire des efforts : comme certaines restrictions, notamment à cause de l’immunité, un peu comme à l’époque du Covid. Comme le disait au Siyoum le Rav Bijaoui : “nul dans la vie ne traverse pas de moments de difficultés — certains en vivent plus, d’autres moins — mais le refuge le plus sûr, c’est la Émouna (foi) en Hachem”.
Comme je l’ai expliqué, quand on comprend et on assimile le vrai combat, celui face au Yétser Hara’, alors les choses prennent une tournure complètement différente. J’espère, Bé’ezrat Hachem (avec l’aide de D.ieu), pouvoir vous expliquer tout ça très prochainement dans un livre consacré au Kiddouch Hachem (sanctification du Nom divin).
Yaacov Israël, tu as 23 ans, tu as été éprouvé par la maladie. Raconte-nous comment tu l’as vécu.
Baroukh Hachem, j’ai compris très rapidement que cette épreuve était un point de rencontre avec Hachem, et que le vrai combat se ferait à travers la Émouna. Si je peux me permettre une métaphore : ça a été comme un combat de boxe. C’est vrai qu’au début, j’ai été sonné… Mais très vite, grâce à Hachem, au soutien de ma famille et d’un Rav proche, on est entrés dans le monde de la Émouna. Et puis, il y a toutes ces choses simples : des moments partagés avec des amis proches ou en famille, des instants de joie, des petites sorties qui font du bien… Des choses qui paraissent ordinaires, mais qui prennent une valeur immense dans ces moments-là.
Peux-tu nous en dire plus sur le monde de la Émouna ?
C’est un monde qui repose sur une base très claire : comprendre que je ne dois m’adresser qu’à Celui qui tient les fils — Hachem. Tant que je reste à l’intérieur de cette bulle, je suis protégé. Mais si j’en sors, même d’un doigt, je me mets en danger — pas face à la maladie elle-même, mais face à ses véritables ennemis : le Dimion (l’imaginaire) et le Yéouch (le désespoir). Le vrai combat, c’est de rester dans cette bulle, cet espace intérieur où Hachem est le seul Maître du monde, où les statistiques n’ont aucun pouvoir, où aucun médecin ne peut me dire ce qui va se passer. Seul Hachem détient les clés du futur. J’ai donc appris à écarter tout discours qui affaiblit ma Émouna — même s’il vient d’un proche, d’un médecin. Je ne suis pas en guerre contre eux. Mais je reste constamment sur mes gardes pour ne pas sortir de cette bulle, qui est la chambre du Roi, où même le Yétser Hara’ ne peut y entrer, aucun ennemi ne peut y pénétrer. Il le sait. Et c’est pour cela qu’il fait du bruit autour, en envoyant toutes sortes de messages : des peurs, des “peut-être”, des statistiques, des témoignages... Il tente tout pour m’en faire sortir. C’est comme dans l’histoire du roi David, où l’on voit là-bas que le Yétser Hara’ a dû faire du bruit pour le faire sortir de sa bulle, parce que tant que David était à l’intérieur, il était intouchable. Cette petite explication n’est qu’une infime partie de la définition du monde de la Émouna.
Tu as sorti des clips vidéo qui retracent ce que tu vivais. Peux-tu m’expliquer ?
Tout a commencé avec cette mélodie : Hinéni Rofeh Lakh. Je l’ai chantée dès le début… et après, j’ai voulu l’enregistrer. Puis, d’une simple vidéo prise à l’hôpital avec un téléphone, est venue l’idée de faire de ça un clip. Pour raconter, pour montrer, à travers la musique et les images, le message. Rien n’est rejoué, rien n’est décoré. Tout est vécu. On peut voir dans ce premier clip une partie à l’hôpital, une autre au Kotel. Ce qui était vraiment la réalité : la Hichtadlout, l’effort, le combat… et la prière, la Émouna. Suite à cela, quand j’ai commencé la radiothérapie, l’idée est venue aussi de partager ce parcours, encore une fois, à travers un nouveau clip. Cette fois, le morceau choisi : Cha’aré Chamaïm. Un morceau que je chantais beaucoup… où l’on demande à Hachem de nous ouvrir les portes du Ciel, de nous ouvrir Ses trésors. Avant la radiothérapie, j’étais allé au Kéver Ra’hel. Donc ça aussi, ça a été filmé là-bas, pour vraiment retranscrire l’histoire comme elle était. Et on a filmé aussi pendant la radiothérapie. Tout a été vécu, tout a été filmé en temps réel. Et quand on est arrivé en chambre stérile, dès le début, j’avais déjà enregistré la musique Torah Hakédocha (sainte), où les paroles disaient : “Torah Hakédocha, supplie, s’il te plaît…” en faisant allusion à la période où je rentre à l’hôpital pour un certain temps. Ce qui faisait aussi allusion à l’étude de la Torah que j’ai faite pendant cette période, avec ma ‘Havrouta (mon partenaire d’étude), sur la Guémara ‘Haguiga, que nous avons terminée — et qu’on peut voir dans la vidéo d’aujourd’hui. Là-bas aussi, le film est très touchant, filmé dans des moments réels, cruciaux, en chambre stérile. Et après, on a voulu associer cela avec des paroles ajoutées à la fin de la musique, sur les Téhilim — une idée de mon frère — qui dit : “Que les Téhilim Hakédochim (saints) soient reçus Béra’hamim, avec plein de miséricorde.” À la suite des nombreux Téhilim récités dans le groupe pour ma Réfoua Chéléma (guérison complète), dans cette chambre stérile où l’on récitait chaque jour le Mizmor Létoda, jusqu’à aujourd’hui Et pour l’anecdote… ce clip a profondément touché une personne travaillant dans une radio religieuse, qui m’a alors contacté pour me demander plus de détails.
Tu racontes que tu as vécu de nombreux miracles. Peux-tu nous en raconter quelques-uns ?
J’ai commencé le protocole de chimiothérapie. À chaque séance, plusieurs produits étaient administrés, avec un objectif clair : tuer les cellules mauvaises. Mais en parallèle, ces traitements pouvaient aussi faire chuter mon immunité, parfois de manière très importante, d’après les médecins. Chaque semaine, je devais faire une prise de sang pour surveiller de près le taux de mes globules blancs. Et quand l’immunité devenait trop basse, je devais recevoir des injections spécifiques pour la faire remonter. Baroukh Hachem, à la stupéfaction des médecins, mon système immunitaire restait stable et bon. Mais quelques semaines plus tard, alors que les fêtes du mois de Tichri approchaient, ma défense immunitaire a commencé à chuter. Elle est même passée en dessous du seuil normal. C’est alors que ma professeure m’a annoncé que, dans mon état, je ne pourrai pas me rendre à la synagogue. C’était trop risqué, car mon système immunitaire était devenu trop fragile. Je l’ai regardée et je lui ai dit avec conviction : “Mais c’est maintenant que le match se joue. Je ne peux pas rester simple spectateur.” Et c’est là que le miracle s’est produit. À ce moment-là, je continuais malgré tout à étudier le traité de Guémara ‘Haguiga avec mon voisin, qui est aussi ma ‘Havrouta. Ce soir-là, je lui ai dit avec une grande Émouna : “Par le mérite de cette étude, mon immunité va remonter.” Et lui aussi y croyait à 100 %. C’est dans cet esprit que nous avons poursuivi notre étude. Le lendemain, j’ai demandé à faire une nouvelle prise de sang. On a tenté de me dissuader : “Ça ne sert à rien, l’immunité ne peut pas remonter en moins de 24 heures.” Mais j’ai insisté : “C’est moi qui vais la faire. Qu’est-ce que ça peut vous changer, à vous ?”
Alors on m’a autorisé à la faire. En début de soirée, je reçois les résultats : l’immunité était bel et bien remontée. Et je pouvais, bien sûr, aller prier. Je me souviens encore de l’appel que j’ai passé à ma ‘Havrouta, les larmes aux yeux, pour lui annoncer le miracle d’Hachem. Le mérite de l’étude avait fait remonter les cellules. Et ce n’était pas la seule fois : d’autres miracles similaires se sont produits après l’étude, toujours liés à l’évolution de mon système immunitaire. Après le protocole de chimiothérapie, les médecins ont décidé de poursuivre le traitement par radiothérapie. Même si cela n’était pas spécifiquement écrit dans le protocole, une réunion a eu lieu pour définir le nombre de séances et leur intensité. Finalement, il a été décidé que je ferais 13 séances, en parfaite correspondance avec les 13 Middot Hara’hamim — les attributs de miséricorde d’Hachem. À chaque séance, je recevais une dose de rayonnement. Au total : 26 degrés. Exactement la valeur numérique du Nom d’Hachem (ה-ו-ה-י). Et c’est là que le miracle a commencé. Mais pour moi, la radiothérapie ne devait pas être perçue comme une thérapie classique. J’ai décidé de changer mon regard : je l’ai vue comme une simple séance d’UV, comme si j’entrais dans une cabine pour bronzer. Légèreté dans l’apparence, mais en réalité, un travail profond à l’intérieur. Pourquoi ? Parce que le vrai combat, ce n’est ni la maladie, ni le traitement. Le vrai combat, c’est de rester ferme dans la Émouna, de ne jamais oublier qui guérit vraiment. Ce n’est pas la machine. Ce ne sont pas les rayons. Ce ne sont pas les médecins. Ce sont des moyens, rien de plus. La véritable source, c’est Hachem. Avant même de commencer la première séance, je suis allé prier au Kéver Ra’hel. Je me suis tenu là-bas, devant notre mère Ra’hel, et j’ai parlé à Hachem avec tout mon cœur. Et tout au long des traitements, je suis entré dans cet appareil avec Émouna, avec confiance. Confiance qu’Hachem me protège, qu’Il veille sur moi, et que Lui seul dirige chaque rayon.
Et donc, aucune crainte à avoir — c’est exactement comme faire une séance d’UV. Et en effet, le miracle s’est poursuivi : malgré la précision extrême avec laquelle chaque séance a été réalisée, je n’ai eu aucun effet secondaire. Aucun. C’est ça, la puissance de la Émouna. Après la chimiothérapie et la radiothérapie, le professeur a décidé que je devais subir une greffe, une préparation pour l'entrée en chambre stérile. Cette greffe se faisait en plusieurs étapes. La première étape consistait à stimuler la production de cellules immunitaires. Pour ça, je devais recevoir chaque jour des piqûres destinées à provoquer une multiplication intense de mes cellules souches. Ensuite est venu le moment de la collecte : une sorte de transfusion spéciale où l’on prélève ces cellules pour les mettre de côté, les “nettoyer”, et les réinjecter plus tard, une fois que le terrain est prêt. Puis est venue la deuxième étape : l’entrée en chambre stérile. Une pièce isolée, coupée du monde, où j’allais recevoir un traitement très fort, destiné à faire tomber mon immunité à zéro. Ce n’est qu’après ça que je devais recevoir la greffe — c’est-à-dire mes propres cellules purifiées — pour reconstruire tout un système immunitaire sain et nouveau. Et là, un autre miracle s’est produit. Ils m’ont dit que, jusqu’à maintenant, quand je faisais une piqûre pour aider à stimuler et faire remonter mon système immunitaire, je n’avais pas mal — alors que normalement, c’est douloureux. Mais cette fois, avec dix piqûres à faire en quelques jours, il m’a dit que ce serait différent, que ce miracle-là n’était pas possible. Alors il a voulu me faire une ordonnance pour des médicaments spéciaux antidouleur, afin d’atténuer un peu la douleur pendant ces quelques jours de piqûres intensives, jour après jour. C’est là que je leur ai dit NON. Je refuse l’ordonnance, pour une simple raison : vous vous trompez. Pour Hachem, il n’y a aucune différence entre une piqûre ou dix piqûres.
Ils ont quand même donné les médicaments à mon père, en lui disant : « Tu les lui donneras, tu lui rappelleras quand il sera au lit. » Et c’est là que j’ai commencé à enchaîner piqûre après piqûre, faites par la docteure Elishéva Tobelem, que je remercie profondément, qui m’a d’ailleurs fait une des dernières, pendant un mariage — où j’ai dansé malgré ce qu’ils m’avaient dit, que je serais au lit. Après les piqûres, je suis allé faire la collecte des cellules. Les médecins espéraient en obtenir environ 25 000 — ce qui aurait déjà été très bien. Mais quand les résultats sont tombés, tout le monde a été stupéfait : j’en avais 73 000. Un chiffre jamais atteint jusqu’ici dans leur service. Et là, à ce moment-là, ils ont dû accepter que la force de la Émouna est plus forte.
Quel message veux-tu adresser aux personnes qui passent par cette épreuve ?
Personne ne peut vraiment se mettre à la place d’une personne éprouvée. Mais je peux vous dire : la seule règle absolue dans le monde, c’est que D.ieu existe. Le reste, il n’y a aucune règle absolue. D’où sait-on ça ? De l’histoire de Rabbi ‘Hanina ben Dossa : le vinaigre peut brûler comme l’huile. Ça prouve qu’il n’y a aucune règle absolue. La règle absolue, elle ne peut pas exister, parce que sinon, elle fait perdre Sa place à Hachem. Que D.ieu nous en préserve.
La fatalité, c’est l’inexistence d’Hachem. Il faut savoir que le Yétser Hara’ se sert de l’illusion pour nous faire entrer dans le Safek (le doute), et ce doute, il nous pousse petit à petit au Yéouch (le désespoir). Et comme disait au Siyoum le Rav Yaacov Sitruk au nom de son père : “Il ne faut jamais souhaiter l’épreuve, mais quand elle vient, elle doit servir à quelque chose”.
Il y a quelques semaines, s’est tenu à Jérusalem un événement exceptionnel en l’honneur de la Torah à travers la conclusion que tu as faite du traité talmudique ‘Haguiga, avec la présence de nombreux grands Rabbanim francophones. Peux-tu nous donner plus de détails ?
En effet, avec ma ‘Havrouta, nous avons étudié sans interruption la Guémara ‘Haguiga pendant tout ce temps. Cette assiduité nous a permis de conclure cette étude. J’ai tenu à organiser un événement exceptionnel en l’honneur de la Torah. Étaient présents pour cette occasion : le Rav Yaacov Sitruk, le Rav Benchetrit, le Rav Bijaoui, ainsi que le Rav Béhar et le Rav Bar Kokhba. L’objectif était clair : transmettre un message fort sur l’importance du Limoud Hatorah (étude de la Torah), même dans les épreuves. Je voulais mettre en valeur l’étude de la Torah chaque jour, quelles que soient les circonstances. Cet événement visait aussi à montrer la puissance de la Torah, la force qu’elle donne, et à partager des messages de Émouna, transmis ce soir-là par les Rabbanim présents. Des paroles marquantes ont été dites par les Rabbanim présents, qu’on peut d’ailleurs retrouver dans la vidéo qui a été publiée à propos de cet événement. Ce fut un instant magique. Un moment particulier, chargé d’émotion, un moment inoubliable.
Dans la vidéo, nous voyons l’arrivée et le discours exceptionnel du Roch Yéchiva de Mir, Hagaon Harav Ezra’hi. Sa présence et son message ont été incroyables. Peux-tu nous le partager ?
Le Rav Ezra’hi א״טילש est entré dans ma vie à l’occasion d’un événement exceptionnel : un rassemblement historique autour des Maîtres de la génération, organisé à Paris par une personne elle-même exceptionnelle, qui œuvre sans relâche avec son épouse pour sanctifier le Nom d’Hachem. Je tiens à le remercier du fond du cœur. Il m’a reçu avec une attention et une sensibilité rares. C’est à ce moment-là qu’il m’a fait connaître le Rav Ezra’hi א״טילש , avec qui j’ai eu le mérite de parler. De cette rencontre, est née une relation profonde. D’abord à Paris, puis en Israël, nous avons partagé des instants précieux, empreints de Torah et de Émouna. Le Rav a su trouver les mots justes, ceux qui réconfortent, élèvent et donnent de la force. C’est donc avec beaucoup d’émotion que j’ai eu le mérite de l’inviter à ce Siyoum.
Un Siyoum pas comme les autres. Sa présence dans la vidéo témoigne de l’impact extraordinaire de sa personnalité, et de combien nous étions tous transportés par cette lumière qu’il dégageait. Et d’ailleurs, voici en quelques mots les paroles marquantes du Rav, prononcées lors de cet évènement. Le Rav a dit : « Dans sa maladie, regardez ce qu’il a fait. » Les médecins lui ont bien sûr donné leurs recommandations, qu’il a suivies. Mais malgré tout cela, il a continué à étudier la Torah. Et ce, même dans des conditions où pratiquement personne ne serait capable de se concentrer. Le Rav a insisté : « Presque personne ne peut se concentrer quand il souffre. » Mais celui qui sait ce qui est vraiment important, celui qui sait que le principal, c’est la Torah, alors lui, même dans la difficulté, reste focalisé. Parce qu’il sait faire la différence entre ce qui est Ikar (l’essentiel) et ce qui est Tafel (le secondaire). Vous êtes venus ici en l’honneur de la Torah, en l’honneur de celui qui sait ce qui compte vraiment. Le Rav a poursuivi avec une leçon essentielle : « Avant de faire quoi que ce soit, demande-toi : est-ce que je suis en train de me rapprocher d’Hachem, ou ‘Has Véchalom le contraire ? » Peu importe le domaine : que ce soit Ben adam lamakom (entre l’homme et D.ieu) ou Ben adam la’havéro (entre l’homme et son prochain), chaque geste a un impact. Quelqu’un t’a un peu blessé ? Tu accomplis “Véahavta léré’akha kamokha” — d’aimer ton prochain comme toi-même. Alors tu laisses passer. » Et il a continué : « Il faut venir à la prière à une certaine heure ? Tu t’es levé un peu en avance, tu tournes encore un peu ; Hachem, Il te regarde : “Qu’est-ce que tu fais ici ?” »
Le Rav a conclu avec une promesse bouleversante : « Je vous promets que plus vous étudierez la Torah, moins vous serez dérangés. Et il a ajouté : « Ce n’est pas de la magie, ce n’est pas un tour de passe-passe. C’est simplement la réalité de la Torah. »
Je vous invite à écouter l’intégralité de ce cours bouleversant et inspirant dans la vidéo de l’événement : https://youtu.be/eARcX02CZs4





