Dans quelle mesure 'Hanouka est-elle encore l'une des opportunités de développer son intériorité dans un monde soumis aux diktats de l'internet, de l'apparence et de la superficialité ? En quoi les Grecs se sont-ils complètement fourvoyés dans leur approche de la vérité ? Pourquoi la gratitude (Hakarat Hatov), le remerciement et les louanges sont-ils associés à 'Hanouka ? Le domaine dans lequel les fautes du peuple juif sont commises nous donnent-elles une indication quant à la nature du décret divin qui s'en suit ? La prière (la Téfila) est aussi appelée "le travail du coeur" ('Avodat Chébalev) : en quoi cela nous engage-t-il ?

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