Si quelqu'un a tiré d'un bien [consacré un bénéfice égal] à la moitié d'une perouta et [lui a
causé un dommage] égal à la moitié d'une perouta, ou s'il a tiré d'un bien [consacré un
bénéfice égal à] la valeur d'une perouta qui [est susceptible d'être endommagé] et a causé
un dommage de la valeur d'une perouta à un autre bien [consacré mais n'en a tiré aucun
bénéfice, il est exempté. La raison en est que] l'on n'est pas responsable d'un abus [me’ila]
jusqu'à ce qu'on tire un bénéfice de la valeur d'une perouta [d'un bien consacré] et qu'on
cause un dommage de la valeur d'une perouta à un autre, [c'est-à-dire au même] bien.