D'où vient ce "stress" qui exacerbe notre conscience et aiguise notre sensibilité au mois d'Eloul, concernant le temps qui passe, nos responsabilités de Juifs vis-à-vis de la Torah et le sens dans lequel on souhaite orienter nos vies ? Qui nous impose cette "pause" salvatrice et nous recommande de la dédier à une réflexion constructive ? Comment Hachem accueille-t-Il le moindre de nos efforts en Eloul ? En quoi est-il impensable de prendre des engagements pour l'année à venir sans l'amour d'Hachem et des Mitsvot ?

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