"Celui qui accomplit une Mitsva, il ne lui arrive rien de mal". Comment cette promesse a-t-elle sauvé Abrabanel du décret de mort à son égard décidé par le Roi d'Espagne ? De quelle manière Abrabanel, à l'instar du roi Mounbaz, nous enseigne que la seule chose qui finalement appartient pour toujours à l'homme, qu'on ne pourra jamais lui ôter, c'est ce qu'il a donné ?

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