L'oisiveté étant la mère de tous les vices, le fait de travailler et d'étudier la Torah en déployant des efforts intenses apporte de nombreux bienfaits, dont celui notamment d'écarter de l'esprit la pensée de la faute. Pourquoi faut-il un effort conjugué d'une activité spirituelle et d'une activité matérielle pour être à même de s'élever ? Quelles exigences vis-à-vis de soi-même serait-on bien avisé d'avoir dans le travail ? Qu'en est-il de sa dimension créative ? Exercer un métier honnête en parallèle de l'étude de la Torah, est-il salvateur, à notre époque ?

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