[Après avoir énuméré les neuf catégories d’huiles dans la Michna précédente, cette Michna les classe selon leur qualité : Quant à]la première[catégorie d’huile]issue de la première[récolte], aucune ne lui est supérieure. La deuxième[catégorie d’huile]issue de la première[récolte]et la première[catégorie d’huile]issue de la deuxième[récolte sont de qualité]égale ; [il n’y a aucune raison de préférer l’une à l’autre]. La troisième[catégorie d’huile]issue de la première[récolte], la deuxième[catégorie d’huile]issue de la deuxième[récolte]et la première[catégorie d’huile]issue de la troisième[récolte sont de qualité]égale. La troisième[catégorie d’huile issue de la]deuxième récolte et la deuxième catégorie[d’huile issue]de la troisième[récolte sont de qualité]égale.[Quant à]la troisième[catégorie d’huile]issue de la troisième[récolte], aucune ne lui est inférieure. De même,[en ce qui concerne]toutes les offrandes, il était logique qu’elles exigent[la meilleure qualité d’]huile d’olive raffinée,[tout comme le Candélabre]. Car si le candélabre, dont[l’huile]ne doit pas être consommée[sur l’autel], nécessite de l’huile d’olive raffinée,[alors]les offrandes de repas, qui[doivent]être consommées[sur l’autel], n’est-il pas logique qu’elles nécessitent de l’huile d’olive raffinée ?[Pour dissiper cette idée, le verset dit : « De l’huile d’olive]raffinée, pilée pour l’illumination »(Vayikra24,2), [ce qui indique que l’huile de haute qualité, raffinée et pilée est requise pour le candélabre], mais qu’il n’est pas[nécessaire d’utiliser de l’huile d’olive]raffinée pilée pour les offrandes de repas.