Imaginons qu'un malade ait besoin d'une opération à 300 000 euros pour guérir, et qu'on trouve 300 000 personnes d'accord de donner chacune 1 euro pour lui venir en aide, celle qui aura donné cette somme en dernier aura-t-elle aussi un grand mérite ? Ou bien dira-t-on que, de toute façon, même sans sa contribution, l'opération aurait pu être payée ? Comment comprendre que, pour la Torah, celui qui s'associe à d'autres personnes pour faire le bien est considéré comme l'ayant fait entièrement ? En quoi cette idée permet-elle de répondre à la question suivante : "Y a-t-il une mitsva d'aller voter ?" 

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