Rabbi Yehochoua ben Lévi, disait : « Chaque jour, un écho de la Voix jaillit du mont Horèv (au Sinaï) et proclame : « Malheur à ceux qui méprisent la Torah », car celui qui ne se voue pas à l’étude de la Torah est appelé « abject », comme il est dit (Michlé 11,22) : « Une belle femme dépourvue de sens est comme un anneau d’or au groin d’un porc ». Ailleurs il est dit (Chemot 32,16) : « Les Tables [de la Loi] étaient l’œuvre de D’ieu, et l’écriture était l’écriture de D’ieu gravée sur les Tables ». Ne lis pas ‘harout (gravée), mais ‘hérout (liberté), car n’est réellement homme libre que celui qui s’adonne à l’étude de la Torah, et quiconque s’y consacre s’élève, ainsi qu’il est dit (Bamidbar 21,19) : ‘‘De Matana à Na’haliel, et de Na’haliel à Bamot ».