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Torah écrite (pentateuque) » Lévitique (Vayikra)

Chapitre 1 (Vayikra)

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1,1
L'Éternel appela Moïse, et lui parla, de la Tente d'assignation, en ces termes:
Il appela Mochè

Toutes les fois que Hachem s’est adressé à Mochè en lui « parlant », en lui « disant » et en lui « ordonnant », il a commencé par « appeler », expression d’affection (Yoma 4b, Wayiqra raba), identique à celle employée par les anges de service, comme il est écrit : « Il “appela” l’un l’autre… » (Yecha’yah 6, 3). Tandis que c’est de manière fortuite et impure qu’Il se révèle aux prophètes des nations du monde, comme il est écrit : « Éloqim “survint” vers Bil‘am, il lui dit… » (Bamidbar 23, 4)

Il appela Mochè

La voix se propageait et atteignait ses oreilles, et nul en Israël ne l’entendait. J’aurais pu penser qu’il y eût eu un appel également pour signaler les interruptions dans le discours. Aussi est-il écrit : « lui parla », ce qui veut dire qu’il y a eu un « appel » lors de la prise de parole, et non pour les interruptions. Et à quoi les interruptions ont-elles servi ? À donner à Mochè le temps de réfléchir entre chaque paragraphe et le suivant et entre un sujet et l’autre. À plus forte raison un simple être humain en a-t-il besoin lorsqu’il étudie auprès d’un de ses semblables

Lui parla

À l’exclusion de Aharon. Rabi Yehouda a enseigné : La Tora contient treize « paroles » (diberoth) transmises à Mochè et à Aharon, au regard desquelles figurent treize cas où Aharon est exclu. Cela t’apprend qu’elles n’ont pas été dites à Aharon, mais à Mochè pour qu’il les dise à Aharon. Et voici ces treize exclusions : « pour parler avec Lui » (Bamidbar 7, 89), « lui parlant » (ibid.), « il lui parlait » (ibid.), « je te rencontrerai » (Chemoth 25, 22). Elles sont toutes énumérées dans Torath kohanim. J’aurais pu penser qu’ils eussent tous entendu la voix de l’appel. Aussi le mot « voix », dans ces versets, est-il suivi de « à lui » ou de « vers lui ». C’est Mochè qui a entendu, et nul autre en Israël

Depuis la tente d’assignation

Cela nous apprend que la voix s’arrêtait et qu’elle ne se manifestait pas hors de la tente. J’aurais pu penser qu’il en fût ainsi parce qu’elle était trop basse. Aussi est-il écrit : « “la” voix » (Bamidbar 7, 89). De quelle voix s’agit-il ? De celle dont il est question dans le livre des Tehilim : « “La voix” de Hachem éclate dans la force, “la voix” de Hachem éclate avec majesté, “la voix” de Hachem brise les cèdres » (Tehilim 29, 4). Dans ce cas, pourquoi est-il précisé : « depuis la tente d’assignation » ? Pour nous apprendre que la voix s’arrêtait. Il en est de même dans : « Et le bruit des ailes des chérubins s’entend jusqu’à la cour extérieure » (Ye‘hezqèl 10, 5). J’aurais pu penser qu’il en fût ainsi parce qu’elle était trop basse. Aussi est-il écrit : « Comme la voix de Qél Chaqqaï quand Il parle » (ibid.). Dans ce cas, pourquoi est-il précisé : « jusqu’à la cour extérieure » ? Parce que, dès qu’elle y parvenait, elle s’arrêtait

Depuis la tente d’assignation en disant

J’aurais pu penser : « depuis tout le Tabernacle ». Aussi est-il écrit : « de sur le kaporeth (« propitiatoire ») » (Bamidbar 7, 89). J’aurais pu penser : « de sur tout le kaporeth ». Aussi est-il écrit : « entre les deux chérubins » (ibid.)

En disant

Va leur dire des paroles sévères : « C’est à cause de vous qu’Il me parle ! » Il se trouve que jamais, pendant les trente-huit années qu’Israël a passées dans le désert après avoir été rejeté à cause de la faute des explorateurs, la parole de Hachem ne s’est pas adressée exclusivement à Mochè, comme il est écrit : « Ce fut, quand ont pris fin tous les hommes de la guerre, pour mourir… » (Devarim 2, 16), suivi de : « Hachem me parla en disant » (verset 17), comme pour marquer que « ce n’est qu’à ce moment-là qu’Il m’a adressé la parole ». Autre explication : Va leur dire mes paroles et rends-moi compte de leur acceptation, comme il est écrit : « Mochè rapporta les paroles du peuple vers Hachem » (Chemoth 19, 8)

1,2
"Parle aux enfants d'Israël et dis-leur: Si quelqu'un d'entre vous veut présenter au Seigneur une offrande de bétail, c'est dans le gros ou le menu bétail que vous pourrez choisir votre offrande.
Un homme

Lorsqu’il voudra présenter. Le texte parle ici des offrandes de nedava (Torath kohanim)

Un homme (adam)

Pourquoi cette précision ? De même que Adam, le premier homme, n’a rien offert de ce qui était volé, puisque tout lui appartenait, de même ne devrez-vous rien me présenter de ce qui est volé

De l’animal (behéma)

J’aurais pu penser que la ‘hayya y fût comprise. Aussi est-il écrit : « du gros bétail et du menu bétail » [de l’animal domestique exclusivement]

De l’animal

Et non de tout animal : à l’exclusion d’un animal mâle ou femelle qui aura participé à un acte de zoophilie

Du gros bétail

À l’exclusion d’un animal adoré comme divinité

Du menu bétail

À l’exclusion d’un animal consacré à l’idolâtrie

Et du menu bétail

À l’exclusion d’un animal agressif qui aura tué un homme (Temoura 29a). Lorsqu’il est indiqué plus loin : « provenant du gros bétail » (verset 3), ce qui n’aurait pas été indispensable, c’est pour exclure la teréfa (Temoura ibid.)

Vous approcherez

L’emploi du pluriel indique ici que deux personnes peuvent s’associer pour présenter une ‘ola

Votre offrande

Cela nous apprend qu’elle est aussi présentée comme nedava de la communauté. Elle devient alors une ‘ola servant de « dessert à l’autel », présentée à l’aide des excédents des contributions annuelles

1,3
Si cette offrande est un holocauste pris dans le gros bétail, il l'offrira mâle, sans défaut. Il le présentera au seuil de la Tente d'assignation, pour être agréable au Seigneur.
Mâle

Et non femelle (Torath kohanim). Et si le texte répète plus loin le mot « mâle » (verset 10), ce qui paraît constituer une redondance, c’est pour écarter l’animal dont le sexe est indéterminé ou l’hermaphrodite (Bekhoroth 41b)

Sans défaut (tamim)

Le mot tamim veut dire sans défaut corporel invalidant

Vers l’entrée de la tente d’assignation

Il s’occupera lui-même de l’amener jusqu’au parvis. Pourquoi est-il répété « il l’approchera » dans ce verset ? C’est pour t’apprendre que même si la ‘ola de Reouvén s’est confondue avec celle de Chim‘on, chacun la présentera au nom de son propriétaire. Il en va de même d’une ‘ola confondue avec un animal non consacré : on vendra cet animal à quelqu’un ayant besoin de présenter une ‘ola, de sorte qu’ils seront tous deux des ‘oloth et que chacun des propriétaires pourra présenter la sienne en tant que telle. J’aurais pu penser qu’il en fût de même dans le cas d’un animal mélangé avec des animaux impropres aux offrandes ou appartenant à une autre espèce. Aussi est-il écrit : « Il l’approchera »

Il l’approchera

Cela nous apprend qu’on l’oblige à exécuter son vœu. J’aurais pu penser qu’il en fût ainsi même contre son gré. Aussi est-il écrit : « pour Son agrément ». Comment cela se peut-il ? On l’y oblige jusqu’à ce qu’il dise : « Je veux l’accomplir ! » (‘Arkhin 21a)

Devant Hachem. Il appuiera

Il n’est pas de semikha lorsqu’on sacrifie sur une bama [autel dressé hors du Tabernacle ou hors du Temple, lorsqu’il était permis d’en ériger et d’y offrir des sacrifices] (Torath kohanim)

1,4
Il appuiera sa main sur la tête de la victime, et elle sera agréée en sa faveur pour lui obtenir propitiation.
Sur la tête de l’holocauste (‘ola)

Y compris la ‘ola obligatoire en ce qui concerne la semikha, et y compris la ‘ola de brebis

De l’holocauste

À l’exclusion de la ‘ola d’oiseau

Il lui sera agréé

De quels péchés procure-t-il l’expiation ? Serait-ce de ceux passibles de kareth, de la peine de mort prononcée par le tribunal, de celle infligée par intervention du Ciel, ou de malqouth, alors que leur châtiment est expressément spécifié ! Il ne peut donc s’agir que de l’inexécution d’un commandement actif ou de la violation d’une interdiction liée à un commandement actif (Torath kohanim)

1,5
On immolera le taureau devant le Seigneur; les fils d'Aaron, les pontifes, offriront le sang, dont ils aspergeront le tour de l'autel qui est à l'entrée de la Tente d'assignation.
Il égorgera […] les pontifes approcheront

C’est à partir du moment où le sang a été recueilli que le service incombe au kohen. D’où nous apprenons que la che‘hita par un non-kohen reste valable (Zeva‘him 32a)

Devant Hachem

Dans le parvis

Ils approcheront

C’est le moment où le sang est recueilli, en tant que première étape. Mais le terme comprend également l’action de transporter. D’où nous apprenons que les deux incombent aux descendants de Aharon

Les fils de Aharon

J’aurais pu penser qu’il en fût de même des ‘hallalim (kohanim « profanés », issus d’unions interdites aux pontifes et donc inaptes à la prêtrise). Aussi est-il ajouté : « les kohanim »

Le sang

Pourquoi le mot « sang » figure-t-il à deux reprises dans le verset ? Pour inclure celui qui s’est mélangé avec le sang d’une offrande de la même espèce ou d’une espèce différente. J’aurais pu penser qu’il en fût de même dans le cas d’animaux impropres aux offrandes ou de ‘hataoth dont le sang doit être aspergé sur l’autel intérieur ou sur l’autel extérieur, dont celui-là au-dessus du trait rouge et celui-ci au-dessous. Aussi est-il écrit ailleurs (verset 11) : « “son” sang » (Zeva‘him 81a et b)

Ils aspergeront

Le kohen se tient en bas et asperge à partir du récipient la paroi de l’autel, au-dessus du trait rouge, vers les angles. D’où l’emploi du mot : « autour », le sang devant être réparti sur les quatre côtés de l’autel. Ou bien devait-il être appliqué autour comme on l’aurait fait d’un fil ? Aussi est-il écrit : « ils aspergeront », et il est impossible d’entourer par aspersion. S’il y a aspersion, n’y en a-t-il qu’une seule ? Aussi est-il écrit : « autour ». Comment cela est-il possible ? On effectue deux aspersions qui en deviennent quatre (Torath kohanim)

Qui est à l’entrée de la tente d’assignation

Et non lorsqu’elle est démontée

1,6
Alors on dépouillera la victime, et on la dépècera par quartiers.
Il dépouillera l’holocauste (‘ola)

Pourquoi la précision : « la ‘ola » ? Pour inclure toutes les ‘oloth dans l’obligation de dépouiller et de dépecer (Torath kohanim)

En ses morceaux

Et non ses morceaux en plus petits morceaux (Torath kohanim)

1,7
Les fils d'Aaron le pontife mettront du feu sur l'autel, et disposeront du bois sur ce feu;
Donneront du feu

Bien que le feu descende du ciel, c’est une mitswa d’en mettre allumé de la main de l’homme (Yoma 53a)

Les fils de Aharon le pontife

Lorsqu’il est vêtu comme il convient à sa fonction. Mais s’il officie dans les vêtements d’un kohen ordinaire, son service n’est pas valable

1,8
puis les fils d'Aaron, les pontifes, arrangeront les membres, la tête et la graisse sur le bois, disposé sur le feu qui sera sur l'autel.
Les fils de Aharon

Vêtus comme il convient à leurs fonctions. Si donc un kohen ordinaire officie dans les huit vêtements du kohen gadol, son service n’est pas valable

Les morceaux

La tête n’est pas incluse dans le dépouillement, étant donné qu’elle a déjà été tranchée lors de la che‘hita. Aussi le texte la spécifie-t-il ici distinctement

Et la graisse

Pourquoi cette précision ? Pour t’apprendre qu’on la présente avec la tête et qu’on en recouvre le point de che‘hita, ce qui est une manière d’honorer le Tout-Puissant (‘Houlin 26a et b)

Qui est sur l’autel

Les morceaux de bois ne doivent pas dépasser le brasier

1,9
On lavera dans l'eau les intestins et les jambes; alors le pontife fera fumer le tout sur l'autel comme holocauste, combustion d'une odeur agréable au Seigneur.
Un holocauste (‘ola)

C’est à titre de ‘ola qu’il le fera réduire en fumée

Un sacrifice par le feu (ichè)

Lorsqu’il lui fera la che‘hita, il devra le faire avec l’intention de le livrer au feu. Le mot ichè vient de éch (« feu »), en français médiéval : « foede »

Agréable (ni‘hoa‘h)

Une satisfaction (na‘hath) d’esprit pour moi, car j’ai parlé et ma volonté a été faite

1,10
Si l'offrande destinée à l'holocauste provient du menu bétail, des brebis ou des chèvres, on la présentera mâle, sans défaut.
Et si du menu bétail

La lettre waw (« et ») ajoute à ce qui précède. Pourquoi, dans ce cas, un nouveau paragraphe ? Pour permettre à Mochè de réfléchir entre chaque paragraphe (Zeva‘him 48a)

Du menu bétail […] des moutons ou des chèvres

Soit trois exclusions, pour écarter le vieil animal, l’animal malade et l’animal malodorant (Bekhoroth 41a)

1,11
On l'immolera au côté nord de l'autel, devant le Seigneur; et les fils d'Aaron, les pontifes, aspergeront de son sang le tour de l'autel.
Sur le flanc de l’autel

Sur le côté de l’autel

Vers le nord devant Hachem

Et non au nord d’une bama

1,12
On la dépècera par quartiers, séparant là tête et la graisse; le pontife les arrangera sur le bois, disposé sur le feu qui sera sur l'autel.
1,13
On lavera dans l'eau les intestins et les jambes; alors le pontife offrira le tout, qu'il fera fumer sur l'autel comme étant un holocauste, combustion d'une odeur agréable au Seigneur.
1,14
Si c'est un oiseau qu'on veut offrir en holocauste au Seigneur, qu'on choisisse l'offrande parmi les tourterelles ou les jeunes colombes.
Du volatile

Et non de tout volatile (Qiddouchin 24b). Étant donné qu’il est écrit : « Mâle, sans défaut » pour le gros bétail, pour les moutons et pour les chèvres, c’est donc pour les behémoth (« quadrupèdes domestiques ») que sont exigés l’absence de défaut et le sexe masculin, mais non pour les volatiles. J’aurais pu penser que ceux-ci fussent valables même s’il leur manque un membre. Aussi est-il écrit : « “du” volatile [entier] »

Des tourterelles

Grandes et non petites

Des petits de la colombe

Petits et non grands (‘Houlin 22b)

Des tourterelles ou des petits de la colombe

À l’exclusion du début du jaunissement du plumage des unes et des autres, lequel rend impropre, ce jaunissement indiquant un âge trop avancé chez les jeunes colombes et trop précoce chez les tourterelles

1,15
Le pontife la présentera à l'autel et lui rompra la tête, qu'il fera fumer sur l'autel après que son sang aura été exprimé sur la paroi de l'autel.
Il l’approchera

Il peut même ne présenter qu’une seule tourterelle (Kerithoth 9a)

Le pontife […] rompra

La meliqa ne s’effectue pas à l’aide d’un instrument, mais par le kohen lui-même : Il coupe la nuque avec son ongle et il sectionne les vertèbres jusqu’à ce qu’il atteigne l’œsophage et la trachée-artère et qu’il les tranche

Son sang sera drainé (wenimtsa)

Comme dans : « le drainage (mits) du nez » (Michlei 30, 33), « le drainage (hamets) a cessé » (Yecha’yah 16, 4). Il presse la gorge tranchée contre la paroi de l’autel, et le sang s’en exprime et s’écoule (Zeva‘him 65a)

Il rompra […] il fera fumer […] il sera drainé

Est-il possible de dire que c’est après qu’il aura fait fumer que le sang sera drainé ? En fait, de même qu’on fait fumer la tête et le corps séparément, de même en sera-t-il pour la meliqa. Au sens littéral, il faut inverser les termes de ce verset : Il rompra et fera fumer, mais le sang aura été drainé avant qu’il ait fait fumer

1,16
Il enlèvera le jabot avec ses plumes, et le jettera à côté de l'autel, à l'orient, dans le dépôt des cendres.
Son jabot (mouratho)

L’endroit des excréments, à savoir le zèfèq (« jabot »)

Avec ses entrailles (benotsatha)

Avec ses viscères. Le mot notsa désigne ce qui est répugnant, comme dans : « Car ils se sont rendus répugnants (natsou), et aussi ils errent » (Eikha 4, 15). Le Targoum Onqelos traduit par : « [il ôtera son jabot] avec son repas digéré », et le Midrach de Aba Yossi ben ‘Hanan dit également : « Il enlève l’estomac avec le jabot. » Nos Maîtres ont enseigné : on découpe autour du jabot avec un couteau comme une fenêtre, et on l’enlève avec les plumes sur la peau. Au sujet de la ‘ola d’une behéma qui ne se nourrit qu’à la mangeoire de son maître, il est écrit : « Et l’intérieur et les jambes il baignera dans l’eau […] il fera fumer » (verset 13), tandis que pour l’oiseau, qui se nourrit de ce qu’il vole, il est écrit que l’on jettera les entrailles, car il mange de ses larcins (Wayiqra raba)

Près de l’autel vers l’est

À l’est de la rampe (Torath kohanim)

Vers l’endroit des cendres

L’endroit où l’on dépose chaque matin les cendres que l’on a prélevées et celles de l’autel intérieur et de la menora. Elles étaient toutes comme « avalées » sur place

1,17
Alors le pontife ouvrira l'oiseau du côté des ailes, sans les détacher, puis le fera fumer sur l'autel, sur le bois du brasier. Ce sera un holocauste, combustion d'une odeur agréable au Seigneur.
Il le déchirera (wechissa’)

Il n’est de « déchirure » qu’à la main. Ainsi est-il écrit à propos de Chimchon : « Il le déchira (wayechass‘éhou) [sans rien en main] comme il aurait déchiré un agneau » (Choftim 14, 6)

En ses ailes

Avec ses plumes, sans qu’il ait besoin d’arracher les plumes de son jabot (Wayiqra raba)

En ses ailes

Son vrai plumage. Il n’existe pourtant personne qui ne soit écœuré par l’odeur des plumes brûlées ! Pourquoi le texte dit-il néanmoins qu’on le fera fumer ? Afin que l’autel soit rassasié et embelli par l’offrande du pauvre

Il ne séparera pas

Il ne le séparera pas entièrement en deux morceaux, mais il le découpera au dos. Il est écrit au sujet de l’oiseau : « odeur agréable », et il est écrit au sujet de la behéma : « odeur agréable » (verset 9), cela pour t’enseigner qu’il importe peu que l’offrande soit importante ou modeste, pourvu que l’on élève son cœur vers le ciel (Mena‘hoth 110a)

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