Nous sommes habitués aux livres de S.V.T (Sciences de la Vie et de la Terre) représentant l’homme préhistorique avec sa hache et sa peau d’ours comme une partie intrinsèque de l’histoire. Ainsi des générations entières ont été marquées par l’idée que l’homme descend du singe. Se basant sur la théorie de Charles Darwin.

Si pendant des années nous étions dubitatifs quant à cette théorie sans pouvoir la contredire formellement, aujourd’hui c’est la majorité de l’assemblée scientifique qui l’a dément.

L’avènement de la physique quantique ainsi que les nouvelles découvertes en matière de génétique, de microbiologie et de biochimie ont parfaitement prouvé l’impossibilité de cette théorie.

Qu’est-ce que la théorie de l’évolution ?

La théorie de l’évolution est la théorie de « l’adaptation à l’environnement », prétendant que les divers êtres vivants n’étaient pas créés séparément par D.ieu, mais descendaient tous d’un ancêtre commun et sont devenus différents les uns des autres à cause des conditions naturelles.

En réalité, cette théorie affirme que d’une manière spontanée se serait créée une bactérie (dont on ignore l’origine) et qu’elle aurait muté, donnant ainsi la vie à l’humanité, mais aussi à l’architecture si complexe et précise du monde.

Si nous accordons beaucoup de crédit aux scientifiques, il est bon de noter que Charles Robert Darwin n’en n’était pas un. En effet, il était un naturaliste amateur qui n’a jamais reçu de formation académique en biologie. Il s’intéressait en tant qu’amateur à la nature et aux êtres vivants. Impressionné par diverses espèces d’êtres vivants, particulièrement certains pinsons qu’il avait vu dans les îles Galápagos, il a pensé que la diversité de becs des différents pinsons était le résultat d’une adaptation à leur milieu naturel. Si bien, que la théorie de l’évolution n’a rien de vérité scientifique (d’où l’expression « théorie ») ni rien d’une théorie  « scientifique » non plus.

Il existe aujourd’hui de nombreux livres visant à démystifier cette théorie qui s’est enracinée lourdement dans la communauté scientifique ainsi que dans la conscience collective.

Quelques titres : Hans-Joachim Zillmer « L’erreur de Darwin » et « Darwin, le mensonge de l’évolution », Jean François Moreel «  Darwin, l’envers d’une théorie » etc.

Au cours des années c’est des milliers de contre-arguments qui ont vu le jour, notons en quelque uns.

(Quelques) réfutations – Les fossiles

Charles Darwin avança sa théorie dans son livre «  L’origine des espèces » publié en 1859, dans le chapitre « les difficultés de la théorie » il dit espérer que ses propos se voient validés par les fouilles archéologiques, sans quoi toute la théorie serait anéantie.

En effet, d’après lui la terre devrait être surchargée de fossiles transitionnels d’une forme à l’autre. Les dits « ratés » de l’évolution. Ceux qui n’ont pas survécu à l’adaptation.

Et pourtant, pas un seul « vrai » fossile transitionnel n’a été retrouvé 150 ans plus tard, alors que tout le globe fut épluchée par les chercheurs.

Bien au contraire, les fossiles découverts attestent exactement l’inverse - les fossiles d’ophiures démontrent que les échinodermes (famille d’animaux marins regroupant entre autres les oursins et les étoiles de mer) n’ont absolument pas changé depuis des millénaires.

Les fossiles de tortue découverts aussi révèlent que la tortue n’a jamais subi d’étapes intermédiaires de transformation et qu’elles sont constituées de la même structure depuis toujours.

Bien que certains scientifiques aient tenté de proposer des découvertes attestant le bien fondé de leurs théories, et qu’ils aient même exposé ces prétendues preuves dans les musés du monde entier, leurs “découvertes” ont finalement été démenties. Pire, il s’est avéré que ces “preuves” avaient été sciemment falsifiées, et ces scientifiques ont été traduits en justice.

En 1911, une autre grande découverte était annoncée : l’homme de Piltdown. Son portrait orna les livres d’histoire pendant 50 ans. Bien que l’on n’ait découvert de lui qu’un crâne et une dent, les scientifiques ont brossé son portrait comme s’il avait été pris en photo.

Des répliques de ce crâne ont été exposées dans 300 musées à travers le monde.

En fin de compte, le 22 Octobre 1953, il a été découvert et admis publiquement que la mâchoire n’était pas un fossile, que la dent avait été limée pour mieux feindre l’imitation et le tout avait été coloré avec des substances chimiques pour simuler l’âge, alors qu’en réalité, il s’agissait du crâne d’un homme mort des années auparavant.

La thermodynamique

La thermodynamique est une loi physique qui définit que les corps se fuient.

C’est-à-dire que les molécules ont tendance à s’écarter les unes des autres, elles ne s’attirent pas mais aux contraire se rejettent. Comment les molécules se seraient unies hasardeusement, si leur nature même était de se désunir ?

Le professeur Prigogine, prix Nobel de chimie notamment pour ses découvertes en matière de thermodynamique affirme que la théorie de l’évolution est contredite pour tous nos postulats en matière de physique et chimie biomoléculaire.

La génétique

Pour qu’une bactérie se transforme en homme (même au fil de milliard d’années) cela requiert une augmentation d’information. L’information nécessaire à la construction de tout être vivant est codée dans l’ADN. L’ADN est une super biomolécule ; une suite de plusieurs millions de bases azotées. Sur chaque emplacement du brin d’ADN se trouve une des quatre bases azotées soit – adénine, thymine, guanine ou cytosine.

Tel est le code binaire (0 et 1) qui est la base de toute la science informatique dans la séquence ordonnée de ses bases.

Pour une bactérie, le brin d’ADN contient environ 3 à 4 millions de bases. Pour l’homme, le brin d’ADN en contient 2 milliards.

Le problème est que l’ADN d’un organisme se transmet de génération en génération sans jamais que le nombre X de bases contenu dans son ADN ne change. C’est ici qu’une fois de plus la théorie de l’évolution heurte les faits scientifiques – une fois de plus.

Tout scientifique admet que les mutations génétiques sont un « poison » pour la cellule vivante. En effet, une mutation génétique ajoute, retranche ou fait subsister une base ou séquences de bases sur un brin d’ADN. L’effet en est évident – la construction de l’organisme vivant est mis en péril puisque le plan (ou l’architecture nécessaire au maintien de la cohésion garantissant la vie) est rompu.

La probabilité mathématique

Une fois la bactérie « miraculeusement » apparue, il faut encore qu’elle mute et qu’elle s’associe à d’innombrables combinaisons pour créer la matière. Et ce parfois simultanément (ce qui en soit relève du caractère prophétique de la matière – être capable de prévoir l’association de corps existant avec celles de corps encore non-existant !)

Qu’elle est la probabilité mathématique qu’une telle combinaison voit le jour ?

Le résultat est le suivant

La probabilité qu’un gène fonctionnel (et utile à la bactérie) se forme par mutations aléatoires dans une période de 15 milliards d’années est de zéro ou l’ordre de 10-500 (c’est-à-dire 10 puissance moins 500).

La probabilité de l’évènement de la formation d’un nouveau gène (ou évolution) est inférieure de plusieurs centaines d’ordre de grandeur au zéro absolu.

Le célèbre astronome britannique, Fred Hoyle statut comme règle mathématique qu’une probabilité de 1050 (10 puissance 50) est en dehors de la réalité.

La théorie de l’évolution est une aberration sur le plan mathématique.

La physique des particules

Le physicien des particules John Polkinghorne démontre avec brio que notre univers est merveilleusement agencé et suggère l’existence de D.ieu, voici ses propos :

« Au début de l’expansion de l’univers, il fallait un équilibre parfait entre la force d’expansion (celle qui éloigne les corps) et la force de gravité. Si la force centrifuge avait été trop grande, la matière se serait dispersée trop rapidement pour pouvoir se condenser en galaxies et pour que les étoiles se forment. Il ne se serait rien produit d’intéressant dans un univers tellement dispersé.

D’autre part, si la gravité avait été trop prépondérante, le monde aurait de nouveau été attiré vers son point de naissance avant que la vie n’ait pu faire son apparition.

Nous estimons que pour que la vie fût possible, qu’il fallut lors de la formation de l’univers (le temps de Planck), la force centripète et la force centrifuge ne diffèrent pas de plus de 1 :1060. Celui qui est versé dans les mathématiques ne pourra que s’émerveiller par cette précision.

Pour le non-spécialiste, je vais emprunter une illustration de Paul Davies pour faire comprendre ce que cela représente. Davies indique que c’est la précision nécessaire pour atteindre une cible de 2,5 cm placée à l’extrémité de l’univers observable, c’est-à-dire vingt mille millions d’années-lumière ! »

Il existe encore des dizaines de milliers de contre preuves scientifiques à la théorie de l’évolution comme la structure synchronique des êtres vivants tous confondus. La théorie de l’évolution n’est pas à même d’expliquer l’existence de certains éléments, comme la rétine de l’oeil, qui auraient nécessités plusieurs mutations génétique simultanées.

Darwin lui-même affirmait que l’œil humain représentait un sérieux problème a sa théorie. Mais aujourd’hui c’est plus de millions d’espèces observées qui dévoilent ce même type de problèmes de logique et de cohérence à la théorie darwinienne.

Mais c’est aussi l’explication de l’existence des sentiments comme l’amour ou la colère qui est communément ressenti (peut-être même par Darwin lui-même), qui dément de manière plus directe encore cette farce qu’est l’évolution. Comment les molécules ont donc créé les sentiments ? Ou encore la réflexion ?

Que dire des E.M .I( Expérience de Mort Imminente) vécu et admis par des millions de personnes ?

Pourquoi les scientifiques s’entêtent-t-ils ?

Au vue des révélations scientifiques si catégoriques, pourquoi nos livres de S.V.T ne changent-ils pas ?

Pourquoi la théorie de l’évolution est-elle encore défendue bec et ongles par des gens, qui nient ou veulent nier , la réalité de faits objectifs et par des analyses rationnelles ?

Voltaire n’a-t-il pas dit : « L’univers m’embrasse et je ne puis songer qu’une telle horloge existe et n’ait pas d’horloger » ?

La réponse à cette question c’est D.ieu Lui-même qui nous l’a fourni «  Tu ne feras pas pencher le jugement, tu ne reconnaîtras pas de visage, et tu ne prendras pas de corruption, car la corruption aveugle les yeux des sages et falsifie les paroles des justes » (Deutéronome 16, 19)

Décider une équation de la vie sans D.ieu c’est s’extraire de Son joug. Il est donc extrêmement confortable pour l’homme de d’ignorer l’action de D.ieu pour se donner bonne conscience et justifier ses actes.