Dans la paracha de Balak, nous voyons que Bil'am (un homme dont la parole avait une force particulière) est envoyé par le roi Balak pour maudire le Klal Israël ; et qu'il prononce finalement, au lieu de malédictions, des bénédictions. L'une de ces bérakhoth, la plus célèbre, fait allusion à la tsni'outh (pudeur, discrétion) du peuple juif. Qu'est-ce qui incita Bil'am à dire cette bénédiction ? Quels éléments, fondamentaux dans la construction d'une famille juive, sont révélés à travers cette dernière ? Quels liens y a-t-il entre Bil'am et le mépris ? En quoi est-il nuisible d'imiter autrui ? En quoi le début du Séfer Méssilath Yécharim rappelle-t-il le danger des "copié-collé" ?   

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