On ne procède à la mesure [des limites des agglomérations] qu’à l’aide de cordes longues de 50 coudées, ni moins ni plus.
On n’effectue les mesures qu’en apposant [la corde] contre son cœur. Si lors des mesures, on rencontre un ravin ou une clôture, on « l’absorbe » et on continue la mesure plus avant. (Lorsqu’on arrive face à un mont, on « l’absorbe » et on continue la mesure plus avant).
Ceci, à condition que cette absorption ne se fasse pas à l’extérieur des limites du Te’houm. S’il n’est pas possible de « l’absorber », c’est à ce propos que Rabbi Dostaï bar Rabbi Yanaï a dit au nom de Rabbi Méïr : J’ai entendu que dans ce cas, on « perce » la montagne.