Selon la Halakha, le don d'organes après avoir quitté ce monde est formellement interdit (sauf dans des cas spécifiques et seulement après l'obtention d'une dérogation par un tribunal rabbinique).
Or, la loi n°2016-41 du 26 janvier 2016 (article 192) stipule que "le prélèvement d'organes peut-être pratiqué sur une personne majeure dès lors qu'elle n'a pas fait connaître, de son vivant son refus d'un tel prélèvement."

Aucun proche ne peut prendre la décision de s'opposer au don d'organes. Il appartient donc à chacun de signaler officiellement son opposition ou à défaut, de faire valoir votre refus sur un document daté et signé à un proche.

N'attendez plus, procédez à l'enregistrement de votre refus de prélèvement d'organes sur le registre national des refus gérés par l'Agence de biomédecine, à l'adresse : https://www.registrenationaldesrefus.fr/#etape-1