À l’issue du scrutin du 3 novembre 2020, alors que l’élection de Joe Biden à la présidence des États-Unis est « presque consommée », Donald Trump, l’enfant terrible de la Maison-Blanche, va commencer à faire "des siennes".
La presse de gauche, qui le déteste, exulte à l'annonce de sa très probable défaite et s’empresse de se moquer de ce qu’elle appelle, « élogieusement », ses tantrums — crises de nerfs de petit garçon qui refuse de perdre.

Trump est d’autant plus démonté qu’il aurait dû emporter ces élections haut la main, si ce n’était la crise du Covid-19.
Sa gestion de la crise sanitaire jugée chaotique (toujours selon les médias), aurait considérablement affaibli sa position, au point de bouleverser sa campagne et de ternir son image.
Mais le deuxième coup dur, celui qui — d’après lui — a scellé sa défaite, fut l’adoption massive du "vote par correspondance".
Ce nouveau système de scrutin, introduit à grande échelle à cause de la pandémie, permettra de voter depuis son domicile en envoyant son bulletin par la poste.
Trump dénoncera une procédure propice à la fraude, à savoir votes en double, bulletins arrivés en retard mais tout de même comptabilisés, ou identités douteuses.
Il affirmera que ces anomalies auront influencé à son désavantage les résultats de plusieurs États-clés.
Joe Biden remportera finalement le scrutin avec à peine 7 millions de voix d’écart à l’échelle nationale (81 millions pour Biden contre 74 millions pour Trump).
Dans plusieurs États décisifs — la Géorgie, l’Arizona ou le Wisconsin — tout s’est joué à quelques dizaines de milliers de bulletins, c'est à dire à un cheveu.
À l'échelle de l'électorat gigantesque des USA, on peut dire que chaque bulletin valait vraiment son pesant d'or.

Donald, dans le rôle du bad boy ne cache pas sa colère et sa déception, alors que Joe, le good guy apparaît souriant et détendu, conseillant à son adversaire de se retirer avec fair-play et d’accepter les règles du jeu démocratique.
Trump finira par faire ses valises à contrecœur, pressé sans doute par Melania, Jared et Ivanka, sous le sourire narquois de la presse et des démocrates, convaincus de s’être débarrassés de lui pour de bon.
Car ce langage franc, ces discours sans fard, ces blagues lourdaudes et cette assurance d’homme d’affaires à succès — qu’il n’a jamais cherché à dissimuler — insupportent le monde des belles âmes de l’intelligentsia new-yorkaise.
Les wokistes, la gauche caviar américaine, Hollywood, Disney & Co, cachent, eux, avec grand soin, l'amour du luxe, du pouvoir et des plaisirs défendus, sous couvert d’humanisme, de pluralisme et de défense des minorités.
Trump ne va pas perdre son temps : il a quatre ans pour se refaire et dénoncer la politique de faible de son ex-adversaire qu'il surnomme "sleepy Joe", et qui va en effet manifester des troubles cognitifs sévères, démentis bien sûr par son entourage.
Il s’avérera que Trump avait raison, et que Biden terminera avec peine son mandat, malgré le soutien de sa vice-présidente Kamala Harris et les cachotteries de son propre parti sur son état de santé mentale.
Trump, poussé par la hargne de vaincre, à force de persévérance, de travail et de déplacements dans chaque rassemblement politique, parviendra, à 79 ans, à faire l'impossible: il reconquiert la Maison-Blanche, 4 ans après son départ, fait unique dans les annales des présidents américains.
Trump affiche ostensiblement son amitié pour Israël, certainement puisée dans un foyer philosémite — son père Fred Trump, avait financé la construction d’une synagogue pour de nouveaux émigrés d’Europe de l’Est, auxquels il louait des appartements dans ses immeubles.

La même Main qui le placera à nouveau au sommet du monde, le sauvera de deux attentats avant son élection, pour un mandat qui s'avèrera si crucial pour Israël.
« Et qui sait si ce n’est pas pour un temps comme celui-ci que tu es parvenue à la royauté ? » (Esther 4:14)
Allez savoir, si lui même n'a pas pressenti que c'est pour un grand moment de l'Histoire Juive que sa vie fut épargnée...
L'homme est croyant.
God bless you, dear Mister President !!





