La femme d’un Cohen [qui a été retenue] prisonnière, peut [continuer] à consommer de la Terouma (après sa libération) : ce sont les paroles de Rabbi Dossa. Les Sages disent : qu’il y a des captives qui peuvent continuer d’en manger et d’autres qui ne le peuvent plus. Comment cela ?
La femme qui a dit : « J’ai été prise en captivité et je suis restée pure » peut continuer d’en consommer. (Car la bouche qui l’accuse est la même qui l’innocente).
Par contre, s’il y a des témoins (qui confirment) qu’elle a été retenue en captivité, même si elle affirme : ‘Je suis restée pure », elle ne pourra plus en consommer.