Rabbi Yehochoua et Rabbi Papyass témoignèrent que le petit d’une (bête) Chelamim doit être offert en tant que Chelamim, tandis que Rabbi Eliézer dit que le petit d’une (bête) Chelamim ne doit pas être offert en tant que Chelamim.
Les Sages disent qu’on peut l’offrir.
Rabbi Papyass a dit : « Je témoigne que nous avions une vache (réservée en tant que) Chelamim, que nous l’avons mangée à Pessa’h, et que nous avons consommé son petit en tant que Chelamim pendant la fête (de Chavou’ot) ».