[Si le sang d’un sacrifice pour le péché]a été versé du cou[de l’animal]sur un vêtement,[le vêtement]n’a pas besoin d’être lavé.[Si le sang a été recueilli dans un récipient et aspergé sur l’autel et aspergé]depuis un coin ou la base[de l’autel sur le vêtement, le vêtement]n’a pas besoin d’être lavé,[car le sang a déjà été aspergé et la mitsva a été accomplie. Si le sang]a coulé[du cou]sur le sol[avant d’être recueilli dans un récipient], et que[le Kohen]a recueilli[le sang et l’a aspergé sur un vêtement, le vêtement]n’a pas besoin d’être lavé.[Ce n’est]que[dans le cas du]sang qui a été reçu dans un récipient[sacré et qui est apte à être aspergé que le vêtement]doit être lavé.[A propos du lavage du sang d’un sacrifice pour le péché des vêtements sur lesquels il a été aspergé, la Michna discute de ce qui est considéré comme un vêtement. Si le sang d’un sacrifice pour le péché]a été aspergé sur la peau[d’un animal]avant qu’elle ne soit écorchée[de l’animal, la peau]n’a pas besoin d’être lavée,[car son statut n’est pas celui d’un vêtement, qui est susceptible d’être impur. Si le sang a été aspergé sur la peau]après l’écorchement, il faut le laver.[C’est ce]que dit Rabbi Yehouda. Rabbi Elazar dit : Même[si le sang a été aspergé sur la peau]après l’écorchement, il n’est pas nécessaire de le laver[jusqu’à ce qu’il soit transformé en un vêtement ou un récipient susceptible d’être impur rituellement. Voici le principe concernant le lavage : un vêtement ne doit être lavé]qu’àl ’endroit où le sang[a été aspergé], et[seulement s’il s’agit]d’un article apte à devenir impur rituellement, et[seulement s’il s’agit d’un article]apte à être lavé.