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Bonjour,
Vous faites apparemment référence aux propos du Michna Beroura (chapitre 42, alinéa 23), qui affirme que l’on ne peut pas écrire des paroles profanes sur une page d’un livre consacré à des paroles de Torah. La raison en est que cette page est réservée (ou sanctifiée) à la Torah, et acquiert ainsi une certaine sainteté, qu’il est interdit de profaner en y inscrivant des éléments profanes.
Cependant, dans votre cas, il semble possible d’adopter une attitude permissive. En effet, la section en question, imprimée par l’éditeur à la fin du ‘Houmach, est située en dehors du texte de la Torah et de son commentaire, et a été expressément conçue pour que le propriétaire y inscrive sa généalogie familiale. Cette page n’a donc jamais été sanctifiée ni désignée pour recevoir des propos de Torah, et ne possède pas de statut de Kédoucha (sainteté).
Voir à ce sujet le Séfer 'Hassidim, alinéa 47, qui permet explicitement d’écrire son nom au début d'un livre saint, et le Guinzé Hakodech, chap. 3, alinéas 19 à 21, qui traite largement du statut de différentes parties des livres de Kodech.
Soyez béni pour votre respect envers les Sifré Kodech et votre souci d’agir selon la Halakha !