ג,ה המקדש את האישה, ואמר סבור הייתי שהיא כוהנת והרי היא לוייה, לוייה והרי היא כוהנת, ענייה והרי היא עשירה, עשירה והרי היא ענייה--הרי זו מקודשת, מפני שלא הטעתו. האומר לאישה, הרי את מקודשת לי לאחר שאתגייר, לאחר שתתגיירי, לאחר שאשתחרר, לאחר שתשתחררי, לאחר שימות בעליך, לאחר שיחלוץ ליך יבמיך--אינה מקודשת. וכן האומר לחברו אם ילדה אשתך נקבה, הרי היא מקודשת לי--לא אמר כלום.
Si quelqu’un s’est consacré une femme et a dit après : « Je croyais qu’elle est fille de Cohen alors qu’elle est fille de Lévi ; je croyais qu’elle est fille de Lévi alors qu’elle est fille de Cohen ; je croyais qu’elle est pauvre alors qu’elle est riche alors qu’elle est riche ; je croyais qu’elle est riche alors qu’elle est pauvre », la consécration est valable parce qu’elle ne l’a pas trompé. Si quelqu’un dit à une femme : « Te voici consacrée à moi après que j’ai été converti », ou « Après que tu aies été convertie », ou « Après que j’ai été affranchi » ou « Après que tu aies été affranchie » ou « Après que ton époux soit mort » ou « Après que ta sœur soit morte » ou « Après que beau-frère ait procédé avec toi à la ‘Halitsa », la consécration n’est pas valable. Il en est de même si quelqu’un dit à un individu : « Si ta femme accouche d’un fille, celle-ci est consacrée à moi », elle n’est pas consacrée. Mais si la femme de l’autre est enceinte et l’enfant déjà visible, ses paroles restent valables et si elle accouche d’une fille, celle-ci est consacrée.